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Au lendemain des élections législatives, la donne politique a changé avec la perte de la majorité absolue pour le parti du président de la République dont l’une des priorités était la Santé. Quelles conséquences pour les IDEL ? Décryptage.

250 consœurs et confrères se sont retrouvés les 24 et 25 mai dernier au Palais de la bourse à Bordeaux pour réfléchir à l’avenir de la profession et participer à des ateliers. Deux jours de réflexion, de confraternité et de retrouvailles. Flash-back.

Carine S est IDEL depuis bientôt 10 ans en Occitanie et vient d’obtenir un DU plaies et cicatrisation. « En tant qu’infirmiers(ères), nous sommes le maillon central dans le suivi et la prise en charge des patients porteurs de plaies. Mais nous nous heurtons à certaines difficultés : manque de formation dédiée, faible communication entre professionnels de santé, manque de réseaux de proximité, etc…

Le Président Emmanuel Macron l’a encore redit récemment, la réforme des retraites entrera en vigueur dès l’été 2023. Dans ce contexte plus que jamais, il est donc crucial que la profession fasse œuvre de démocratie participative et se mobilise en masse lors des élections de la Carpimko, le vote étant ouvert à compter du 22 juin. Il s’agira de procéder au renouvellement de la moitié du Conseil d’administration de la Carpimko, les Idel devant, pour cela, désigner trois représentants (et leurs suppléants) au sein de leur collège.

Soutenu par la FNI, notre partenaire inzee.Care continue de s’adapter et de se développer pour répondre aux enjeux sanitaires en région. Dans le cadre d’un marché public visant à fournir un service numérique de gestion des Soins Non Programmés (SNP), inzee.Care Coordination est la solution choisie par le GCS e-Santé Bretagne pour équiper toutes les CPTS, et structures participant aux Soins non programmés sur la région.

Monkeypox, voilà un autre virus qui commence à faire parler de lui ! La variole du Singe est un orthopoxvirus. la DGS précise les modalités de vaccination des cas contacts….

La composition du gouvernement d’Élisabeth Borne, Première ministre, a été annoncée le vendredi 20 mai. Deux ministres auront la charge des questions relatives à la santé.

Simply Vitale fête ses 10 ans cette année. Dix années aux côtés des infirmières libérales avec lesquelles la solution a été co-construite et grâce auxquelles elle continue d’évoluer en permanence, au plus près des nouveaux besoins de la pratique.

La Cour des comptes s’apprête à publier un rapport qui, une fois de plus, ressemble à une mise en accusation des Idel et de leur façon de facturer leurs actes. Elle participe ainsi à la réforme de la stratégie de gestion du risque entamée par l’Assurance maladie depuis 2020. Mais attention ! Le simplisme, la défiance et la stigmatisation ne sont pas les bonnes voies pour une amélioration durable de la situation. Il serait bien plus constructif de parier sur la formation des Idel à la cotation …

Après avoir autorisé plusieurs professions de santé, dont les IDEL, à vacciner les adultes de plus de 16 ans contre 15 maladies, la HAS va désormais évaluer l’élargissement des compétences pour la vaccination des moins de 16 ans.

Hélas, les situations de maltraitance, en particulier intrafamiliales, sont fréquentes. Selon les chiffres de la Fédération 3977 (Numéro national destiné aux témoins et victimes de maltraitances), 73 % des faits signalés se déroulent au domicile et l’auteur présumé est souvent un proche*. Parce qu’ils sont les seuls à intervenir souvent très régulièrement au domicile des patients, les Idel en sont les témoins récurrents. Et des acteurs importants dans la mesure où il est de leur devoir de les signaler. Ce qu’ils s’attèlent à faire, comme la loi les y enjoint. Petit rappel sommaire de la législation en la matière.

Nous sommes le 12 mai 2022 et c’est aujourd’hui la journée internationale des infirmières. L’occasion de rappeler aux autorités sanitaires l’importance de la profession dans les défis que notre système de santé doit relever. Alors 2022, sera-t-elle l’année d’une meilleure considération pour la profession ?

50 pharmaciens bretons prennent directement les patients en charge pour ce que l’ARS appelle les « petits maux » (brûlures, rhinite, piqûres de tiques, maux de tête…) sans passer par la case médecin. Cette expérimentation hérisse les médecins et les infirmières libérales. Explications.